Ici se trouve le lien de téléchargement d’un texte dont l’une des raisons d’être relève, assurément — malheureusement —, de la psychiatrie.
Cette raison, qu’est la vérité, et que certains n’hésitent pas à faire passer pour quelque irraison, pour une illusion, pour une chose inatteignable en tout temps que seule la naïveté pousse à rechercher, a bien des adversaires ; des adversaires certains, au sein de la présente matière, dont tôt ou tard la rhétorique les fera professer que la vérité ne saurait être unique, ou même utile — prémisse d’ordre philosophique avancée par des gens qui ne sont, au demeurant, guère payés pour philosopher.
Ce texte, rêveur par ses intentions et néanmoins pragmatique, juste ce qu’il faut, n’est qu’une petite pierre d’un édifice dont l’état d’avancement reste inconnu, et dont les architectes sont tous ceux qui refusent de se taire ; mais plus que d’empiler des vérités, cette réfutation déblaye, patiemment, des contrevérités qu’il convient d’ériger en exemples à ne pas imiter.
Le cas qui y est traité n’a certes rien de spectaculaire, si ce n’est les inepties auxquelles le texte répond, il présente cependant des éléments caractéristiques d’une certaine pratique de la psychiatrie.
Et, parce que la psychiatrie la plus forcenée, la plus inqualifiable a la même essence que la psychiatrie qui n’écoute et ne répond pas, parce que protégée, il s’agit de désigner les contours de l’Inacceptable, afin que plus personne n’y soit précipité… en profondeur ou non.
Le diagnostic psychiatrique est un décor, et sa matière première, son envers tient bien souvent d’une prestidigitation triste et faiblarde qu’il est légitime de dénoncer, encore, de toute part, rigoureusement, implacablement, toujours…